jeudi 14 juin 2018

Combi-salopette marron.

Dans mon précédent article, à peine avoir fait part de mon attirance pour une flûtiste, je me justifie d'une accusation qui ne m'a pas été faite en expliquant que mon attirance pour elle n'a rien de malsain.

C'est quelque chose que je fais souvent, peut-être même systématiquement et que maintes personnes m'ont déjà fait remarquer.
Il me semble naturel et nécessaire de me justifier de ne pas être la version déviante de ce que je clame être, c'est une seconde "nature" chez moi.

Je n'arrive pas vraiment à déceler ce qui me pousse à faire cela. Un sentiment de culpabilité, probablement.

Sur une note plus légère, l'idée de raconter l'histoire de cet adolescent qui découvre que si son quotidien est infernal, c'est parce qu'il a été violé lors de son enfance, ce qui l'amène à partir en quête de la femme qui l'a prostitué (on ne sait pas encore les motivations derrière son acte l'argent pourrait être un prétexte, la haine de l'enfant et la perversion, la raison, la jalousie envers la mère de l'enfant que son mari regarde d'un oeil libidineux).

J'aimerais explorer le désir naissant de l'enfant qui, délaissé, est dans un premier temps ravi de l'attention qu'on lui porte. On le verra lors d'un passage où, manipulatrice, elle profitera de son désarroi d'enfant invisible pour obtenir sa confiance (elle l'assoit sur ses genoux, caresse ses cheveux et lui explique qu'un ami à elle va venir l'ausculter pour ses problèmes de maux de ventre (il se plaint tout le temps d'avoir mal au ventre) mais qu'il ne doit pas en parler à sa mère.

Il faudra qu'il tue les deux, à l'arme blanche. Il plantera un couteau dans le ventre de l'homme et l'ouvrira en deux.
Puis s'ensuivra une longue bataille psychologique avec la femme, qui tentera de le convaincre de s'arrêter là.
Il finira par la violer mais elle le tuera en s'asseyant sur son visage au cours d'un épique ébat sexuel/combat à mort.

Soyons fous !


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